De 180 000 à 500 000 personnes en France présentent un risque de choc anaphylactique, manifestation grave qui engage le pronostic vital et dont l’issue dépend de la rapidité de l’instauration du traitement. Le temps médian jusqu’à l’arrêt respiratoire ou cardiaque est de 30 minutes pour les réactions allergiques graves d’origine alimentaire et de 15 minutes en cas de piqûre d’hyménoptère. Pour ces raisons, un dispositif d’adrénaline auto-injectable doit toujours être à portée de main des personnes à risque. Rencontre avec le Pr Anne MONERET-VAUTRIN, allergologue à l'Université Nancy-I
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